Ce qui manquait n’était pas ce que nous avions perdu
14 déc. 2025
" On avait d'abord cru y voir un sacrifice ... En perdant la plus grande partie de nos objets de consommation, on se sentit moins...
Epiphania tome 3 : critique d’une bande dessinée écologique et politique de Ludovic Debeurme
Epiphania, tome 3 de Ludovic Debeurme, est une bande dessinée qui m’a profondément marquée. Dans cet article, je propose une critique person...
Quand la réalité sort de la poubelle
7 déc. 2025
Il y a quelques semaines, je me suis rendue compte que je ne faisais plus la différence entre des images faites par IA, sauf si bien sûr el...
Bilan livresque 2025 : une année vue depuis ma fenêtre
Bilan Livresque 2025 - Depuis le cadre de ma fenêtre Bilan 2025 : Une année vue depuis ma f...
Chez nous : quand le bonheur est en cage et sous contrat
J’ai récemment dévoré une pépite dans la littérature jeunesse, et le terme « dévoré » prend ici tout son sens, car le choc fut presque physi...
Derrière la montre : Ma lecture de "Monsieur le Lapin Blanc"
6 déc. 2025
Nous connaissons tous cette silhouette pressée, ce gilet et cette montre à gousset. Mais avant de guider Alice au Pays des Merveilles, qui...
« The Stringer » : quand l’image révèle ses angles morts
30 nov. 2025
J’ai choisi de regarder The Stringer sur Netflix parce que la photographie de Kim Phuc en fuite fait partie de ces images qui ont façonné...
La bicyclette hantée : Gail Herman
J’ai lu La bicyclette hantée à mes élèves de CM1 et j’ai été frappée par la façon dont cette histoire, en apparence légère, les a immédia...
Epiphania, tome 2 : grandir dans l’ombre et la lumière
Lire le deuxième tome d’ Epiphania m’a donné l’impression de basculer dans une histoire qui s’ouvre, qui se déploie au-delà du simple lien...
Epiphania, ou l’art de grandir
Lire Epiphania de Ludovic Debeurme, c’est entrer dans un monde qui avance à pas lents et lourds, comme si chaque page portait le poids d’...
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